3 semaines au Brésil - mi-novembre à début décembre 2011 - page 11
| 28 novembre (suite) |
On prend nos masques et tubas et Luc nous conseille très bien sur les piscines naturelles de Praia do Forte. On y va et on y passe 3 heures et demi tellement il y a de recoins où chercher le poisson. |
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Dans une des piscines, on ne voit pas le fond tellement elle est profonde, amusant. En plus on est quasiment tout seul. Et ici aussi, c'est
totalement gratuit !
On achète un noix de coco à un vendeur installé sur la plage (3 R$). C'est bon et frais (elles sont conservées dans une glacière), ensuite il nous la découpe pour qu'on puisse manger la pulpe, Anne apprécie moins cette partie. |
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On revient au "port", où l'on va manger un morceau chez Tia Maura. Crâbe farci, fritures de morue et une bouteille d'eau, 27 R$. Le proprio nous
annonce pourtant une addition à 30 ! On lui refait l'addition et il admet qu'il s'est trompé, volontairement ou non, on ne peut pas trop dire
mais en tout cas il n'a pas l'air content. Tant pis pour lui, mais c'est désagréable pour nous aussi.
On rentre à la Pousada. On se rince et je fais un peu de lessive. On discute aussi avec Luc. Il est Alsacien d'origine, venait depuis 2001 ici en vacances puis s'y est installé. Au début, ce n'était qu'un petit village de pêcheurs (40 maisons). En 10 ans, grâce notamment aux années Lula, nous dit-il, le village s'est bien développé et ce ne sont pas que des riches Brésiliens qui sont venus s'installer. Grâce au programme "mi casa mi vida", des gens pauvres peuvent gagner (sorte de loterie) une maison, pour un Real par jour. En face de la Pousada, par exemple, quelqu'un s'est installé comme ça. Ce soir, on va d'abord prendre une Caipirhina au Bariloche, en même temps qu'on écrit des cafés postales. Finalement on décide de rester manger là. Anne prend des crevettes frites accompagnées de salade et de riz, Bertrand prend une mocqueica de poisson. Chaque plat vaut 22 R$. Au moment de l'addition, il oublie les Caipirhina, on n'est pas vache et on lui rappelle. Ce soir, à la Pousada, la clim marche bien ! Coucher vers 23h. |
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29 novembre |
Lever 8h30, zut l'eau chaude ne fonctionne pas, heureusement l'eau est plutôt tiède. Au petit-déjeuner, les jus ont changé : caju, cacao (cacau), multi-fruits. |
| A la plage, à 10h, un peu plus au Sud, la marée est assez basse pour essayer quelques petites piscines naturelles. Encore quelques photos sous-marines, mais ce coin ne vaut pas ceux d'hier. Retour à la Pousada, rinçage, on fait les sacs, dit au-revoir à Luc, qui nous a laissé du rabe bien après midi, l'heure du Check-out théorique. Il est 12h20. Vraiment sympa, en plus, il avait déjà réparé la douche (un fusible grillé) pour notre rinçage. | |
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On va tranquillement attendre à l'arrêt de bus au bout de la rue piétonne le bus Linha Verde de 13h environ, ou celui de 12h30 s'il est un peu en
retard. Finalement, celui de 12h30 passe à 12h50, ça doit être normal. On change à San Cristobal, en passant par la passerelle, pour prendre
l'un des nombreux bus qui dessert l'aéroport. A 14h10, on est y est, on est en avance, le vol pour Belo Horizonte est à 16h35, embarquement à
15h55... Il est à l'heure et part même quelques minutes en avance.
Pas de souci pendant le vol, un jus d'orange ou un Coca Zéro accompagné d'un mélange salé (cacahuètes, amandes, ...) nous est servi. Atterrissage à l'heure, à 18h20 on a nos bagages. On se renseigne au point info pour trouver les bus pour la ville, à 18h25 on a nos billets de bus (8,15 R$ par personne, les places sont numérotées) et on monte de suite dans le bus confortable. A 18h35 précise, heure prévue, il part. On a pu apercevoir la nouvelle cité administrative de Belo Horizonte, des bâtiments au style bien particulier, vu qu'ils ont été dessinés par Oscar Nimeyer, ils ont été inaugurés en 2010. A 19h30 on est arrivé à la gare routière. Heureusement qu'on ne reste pas longtemps dans cette ville, les gens ont l'air bien "Speed" ici. 10-15 minutes à pied et on se trouve au pied de l'hôtel Wimbledon, réservé par mail quelques jours avant. On paie la nuit, 182 R$ et on monte dans notre chambre au 9ème étage. Un drôle de bruit arrive de temps à autre. Surprenant et gênant. Anne me convainc de demander à changer de chambre, car on a compris que cela venait d'un des deux ascenseurs. A la réception, il nous propose une "twin" au bout d'un couloir, au 4ème étage, qui dispose en plus d'un jaccuzi, le tout au même prix. On accepte et le bruit n'est quasiment plus audible, cool ! On sort pour essayer de trouver un endroit où manger. On erre sans trouver alors on se rabat sur un petit fast-food, Fritas..., juste avant sa fermeture. On se sera nourrit ce soir... Coucher vers minuit. |
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30 novembre |
Lever 8h45, le petit-déjeuner est correct et varié. Ils ont notamment de la bonne tourte aux olives, par contre, le café moins bon que d'habitude. On file ensuite à la gare routière, on y est à 10h40, on achète les billets de bus pour Ouro Preto, départ à 11h. |
| C'est bon, il reste plein de places. Les places sont numérotées, le prix est de 22,62 R$ par personne, et le voyage doit durer deux heures en théorie. Il n'y a pas de climatisation dans le bus, mais le temps est couvert et les températures pas trop chaude, donc ça va. | |
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